Le portage salarial fait son show, clap 4

12/11/2020

Et voici pour votre plus grand plaisir le quatrième volet de la mini-série dédiée au portage salarial lancée par le PEPS, il y a quelques semaines maintenant.

Dans cet épisode, Lucas, sympathique et jovial consultant auprès d’une entreprise depuis quelques temps déjà, fait part à son client de son changement de statut d’entrepreneur individuel à salarié porté.

Evidemment, son interlocuteur s’interroge sur ce choix, mais surtout s’inquiète des coûts supplémentaires éventuels engendrés par le portage salarial sur la facture finale de Lucas.

Ce point abordé par la vidéo est évidemment fondamental pour une entreprise dans le choix de ses prestataires. Beaucoup d’entre elles craignent en effet que les « surcoûts » engendrés par le statut de salarié porté (frais de gestion notamment) ne soient directement imputés sur le montant final de la facture.

En pratique, ce n’est pas le cas. En effet, si la gestion administrative et comptable, mais aussi l’accompagnement et les formations proposés par une grande majorité d’EPS aujourd’hui, sont regroupés dans les frais de gestion pouvant aller jusqu’à 10% du chiffre d’affaires du consultant, il ne faut pas oublier que quand on monte une société, le coût d’un comptable, souvent recommandé quand on crée une personne morale, des assurances, de la banque, le coût pour se former… et surtout l’énergie passée à des tâches bien éloignées du cœur de métier des indépendants, représentent des coûts directs et indirects pour le client final, bien plus importants que les frais de gestion d’une entreprise de portage salarial.

Quant au coût de la protection sociale, « le prix de la tranquillité » selon Lucas, le surcoût par rapport à d’autres statuts est largement compensé par la protection contre la maladie, l’accident du travail, l’invalidité, ou encore la perte d’emploi dont bénéficie les salariés portés.

On vous laisse découvrir cette nouvelle vidéo ici !

L’équipe du Guide